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« On ne proposait pas ce genre de prestation de secrétariat juridique. »

2 mai 2024

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En 2000, François Simon constate que ses clients de banque privée sont accompagnés de façon trop standardisée et il veut leur apporter de l’indépendance et plus de confort. Il crée alors le premier Multi Family office qu’il quitte en 2006 pour fonder avec son associé, Laurent de Swarte, AGAMI Family office, aujourd’hui considéré comme leader en France. La vision du MFO est à 360° : François se voit comme un médecin généraliste qui soigne les petits bobos et les grands besoins patrimoniaux de ses clients et s’entoure de spécialistes (avocats, notaires… et legaltechs !).

L’élément différenciant d’AGAMI est le système de facturation au temps passé, prévu et réglé en amont de la prestation.

Sa clientèle est constituée à 80% d’entrepreneurs ayant revendu leur boîte. Ils ont parfois 30 ans, ce qui était encore impensable il y a une décennie.

François, qu’est-ce qui vous a poussé à passer sur Alex Legal ?

Notre portefeuille est composé, entre autres, d’une quarantaine de Holdings. Celles-ci ont régulièrement besoin de refonte des statuts, assemblées générales, tenue du secrétariat juridique… On ne savait pas comment conseiller nos clients à ce niveau-là : faut-il aller voir un avocat pour faire une assemblée générale relativement simple ? Va-t-il même accepter la mission ? Est-ce que ça l’intéresse ? Cela va certainement coûter 3.000 euros… On ne veut pas se lancer dans une usine à gaz.

Je ne voyais pas d’interlocuteur à un bon rapport qualité/ prix dans ce secteur spécifique d’activités. Aujourd’hui, je n’ai pas d’état d’âme quant à mon choix d’Alex.

De quoi aviez-vous peur avant de passer à Alex ?

J’engage ma responsabilité professionnelle en choisissant un tel prestataire de services. Il ne faut pas se tromper en la matière. Il nous fallait de la fiabilité dans l’exécution des tâches juridiques. On a sauté le pas pour essayer. 4 ans plus tard, nous sommes plus que jamais clients d’Alex.

Qu’est-ce que vous préférez dans l’outil ?

Très franchement, le fait de ne plus m’occuper directement des questions relatives au secrétariat juridique tout en gardant un contrôle ! On peut très facilement créer une société avec Alex. La génération d’AG via Alex permet d’échanger encore plus avec mes clients pour identifier les évènements importants de l’exercice social. Cela me donne de la crédibilité et structure notre relation. Nous rédigeons bien mieux nos documents sociaux à présent.

Quelles sont les limites de la plateforme ?

J’aimerais être tenu au courant plus fréquemment de l’évolution de la boîte. Il paraît que vous êtes 25 maintenant ! Je suis sûr que vous proposez bien plus de cas d’usage aujourd’hui. En terme purement tech, avoir des alertes lorsqu’une AG n’est pas tenue par exemple.

De façon plus générale, qu’avez-vous digitalisé au sein de votre Family Office ?

Laurent, mon associé, est très geek. C’est lui qui a mis en place un CRM particulièrement innovant et dédié à notre métier qui permet l’automatisation des tâches des Family officers, de la facturation et de tout le suivi de nos clients, véritable épine dorsale de notre activité.